Les Retrouvailles Après LAbstinence Partie 1
Lannée a été longue et difficile : pour moi comme pour Alain. Alain est le nom de cet homme que javais rencontré chez des amis. Nous nous étions touchés là-bas puis il mavait ramené à la maison avant de me baiser. Depuis nous nous sommes revus plusieurs fois, notamment chez lui en labsence de sa femme qui est frigide. Ils ne couchent plus ensemble depuis des années et je suis son dérivatif sexuel.
Je devais partir à létranger quelques mois et ne revenir quau mois de juillet. Ca allait lui faire une longue période de disette. Aussi, il ma invité chez lui un soir avant de partir, pour se soulager. Une fois la baise finie, il ma fait promettre de ne pas avoir de relation sexuelle pendant mon voyage et quil en ferait autant. Il ma aussi fait promettre de ne pas me masturber pendant les deux dernières semaines ; idem pour lui. Ainsi, nous serions super excités lors de la semaine de vacances quon prendrait à mon retour ; lui et moi dans une petite maison à lécart, à la campagne. Lidée me plaisait ; 5 mois dabstinence, 2 semaines de sevrage complet pour une explosion de plaisir. Jai accepté. Le lendemain, en guise dadieu, je lui ai fait une gorge profonde sur le pas de la porte. Je lui ai tiré et malaxé les bourses au point où la douleur égale le plaisir, afin quil ne moublie pas. Jai avalé et je suis parti.
Labstinence a été plutôt facile pour moi, notamment grâce à ses messages qui trahissaient une grande difficulté pour lui. Ils étaient enflammés. En revanche, les deux dernières semaines ont été très dures. Habitué à me masturber plusieurs fois par jour, javais limpression davoir des poids à la place des testicules et quelles allaient exploser. Mais jai tenu le coup.
Une fois rentré, jai pris le train pour aller le rejoindre dans la maison quil avait loué pour la semaine. Il est venu me chercher à la gare et rien quen le voyant, je sentais toute la tension qui se dégageait de lui ; inutile de lui demander sil avait tenu le coup.
Une fois arrivés à destination, nous sommes sortis en vitesse de la voiture pour rejoindre la maison (en fait, un mobil-home relativement grand mais isolé). Il ma pris par le bras et ma fait entrer en me poussant à lintérieur. Il ma poussé contre le mur ; il a défait sa ceinture et baissé son pantalon. Je me suis agenouillé pour le sucer mais il ma relevé (« plut tard, maintenant je te baise »).
Il était déchainé. Il a lui même baissé mon pantalon sans le défaire (quelle force !), il ma retourné, face contre le mur, et ma écarté les fesses. Je me suis cambrer pour les faire ressortir. Il sest arrêté un instant, comme pour savourer le plaisir ; il faisait augmenter la tension en parlant (« Mes couilles sont sur le point dexploser ! Il me faut ton cul tout de suite ! Je vais te sodomiser et éjaculer tout mon foutre en toi ! »). Je nai pu répondre quune chose : « Vas-y ! Encule moi fort ! ».
Il a placé son gland à lorée de mon anus, puis il a donné un coup de queue tout en me tirant vers lui par les épaules. La pénétration a été violente, à limage de son comportement depuis nos retrouvailles. Sous leffet de labstinence (la mienne ou la sienne), sa queue semblait plus grosse, plus chaude, et plus vigoureuse.
Je nai pas eu de mal à mhabi à cet excès de violence car jétait en manque et javais besoin de me faire sodomiser, sans douceur de préférence. Jétais comblé ; le plaisir ma de suite submergé.
Isolé à la campagne, je ne me suis pas retenu et jai crié le plaisir que je ressentais à me faire sodomiser pour la 1ère fois depuis des mois. « OH OUI cest bon ! Jaime ta queue ! Prend moi comme une pute ! Vide toi en moi ! Jadore quand tu me domines ! Je jouis ! ». Jaime bien les plans domis/soumis de temps en temps, et je suis plus souvent le soumis. Alain le savait et il était clairement dominant cette fois. Il me tirait la tête en arrière, me faisait cambrer le dos et minsultait (« Bouge ton cul PD ! Tu es à moi pour la semaine et je vais te remplir de mon sperme ! Dis moi quand tu vas jouir ! »).
Le plaisir, anal et mental, était puissant, autant que la douleur dans mes couilles et la tension dans mon gland étaient fortes. La combinaison de ces sensations contradictoires était détonante et je grimpais au rideau.
Il continuais à me buriner le cul quand lorgasme pointait. Je lui ai alors crié que jallait jouir. A ce moment là, il a arrêté de me baiser et sest retiré. Dun coup. Et il est parti dans le coin cuisine. Comme ça. Jétais déconcerté, puis furax, puis encore plus frustré. Il ma dit de me remettre en position. Comme il avait lair de vouloir dominer, je me suis exécuté, les mains sur le mur, le dos cambré pour faire ressortir mes fesses. Il est revenu, et une fois derrière moi, il ma dit décarter les fesses et il ma planté sa verge bien au fond.
Le cours normal du coït reprenait et le plaisir revenait quand il a fait quelque chose à laquelle je ne mattendais pas
. (la suite très bientôt).
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!